Ovalyonne Sevens : Tournoi international de rugby féminin

C’est le jeudi 4 avril que s’est clôturé le tournoi de rugby universitaire féminin à 7. Cette variété de rugby à XV a vu le jour dans la seconde moitié du XXème siècle et connait, aujourd’hui, un immense succès auprès des équipes universitaires.

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Interview : Master Cancéro

Bonjour à tous ! Aujourd’hui, un article sur un projet de master : après celui des BMC et Microbio, voici le tour du master Cancéro. Au passage, on précise que nous n’avons absolument rien contre les masters de physique ou de mathématiques et nous serions ravis de parler de traitement de déchets nucléaires ou de calculs de fractale dans la cinquième dimension (ou quelque chose du style) ; venez nous contacter sur notre page et on sera ravis de parler de vous !

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Concert AECOR/Sors de ta piaule

Bonjour à tous ! On vous avait parlé de Sors de ta piaule & de ses nombreuses activités dans le CQPS n°21. Ayant été fort occupé la semaine en question, je n’ai pu expérimenter que le concert de nos potos de l’AECOR, et du coup en voici un petit compte-rendu.

Le lieu, cette fois-ci, était l’amphi Astrée 13, juste à côté du théâtre ; je vous avoue que je le connaissais davantage pour les cours de maths (le vendredi matin à 8h, avec alternativement une odeur de croissants ou d’égouts, selon le karma et les phases de la Lune), mais il n’a pas trop entamé la capacité de l’orchestre à nous impressionner.

Comme vous le verrez, le menu n’était pas 100% nouveau, mais bon, j’veux dire, la choucroute, vous en avez mangé plusieurs fois, et vous ne vous en lassez pas, pas vrai ? Pareil donc. Cette fois-ci j’innove et je vous mets directement ici la petite playlist spéciale concert histoire d’éviter de couper le texte :

https://www.youtube.com/playlist?list=PLihibG1OvY9C1NWVsAgXXOYDpk0M2EOiD

On a donc commencé avec Evening Rise et un peu comme la choucroute, c’était toujours aussi bon ! Pour plus d’infos sur les dessous de cette chanson allemano-amérindienne, je vous laisse aller lire l’article précédent.

On a ensuite poursuivi avec Wiegala, par Hiltz Weber, une infirmière juive déportée. C’était une très belle chanson, une de celles qui prouvent que l’allemand malgré ses sonorités peut aussi faire passer des messages d’espoir et d’amour ! (une autre chanson – mais à moitié anglaise, triche)

Mise en place et escalade de tables

Puis, nous avons enchainé avec un concept que je n’avais jamais encore entendu, une Circle Song : l’ensemble de la chorale formait un fond sonore sur lequel différents solistes, à l’impro, venaient imposer un motif. C’était très cool !

Nous avons terminé avec la chorale par le Tourdion, qui était donc le deuxième chant déjà entendu. Une chanson à boire à cette heure en semaine, fallait-il y voir un signe ? En tout cas certains de mes voisins d’amphi y ont pensé.

Le tour de l’orchestre étant venu, nous avons embarqué d’abord pour une suite d’accords (notez la rime interne en or), de quoi jeter un œil sur les dessous de la magie d’un orchestre, un petit 1″ inside, si je puis écrire. (et puis les accords ça peut être joli)

Le premier morceau interprété fut donc une partie du Lac des Cygnes, de Tchaïkovski. En grand fan des compositeurs russes et de leurs morceaux dansants, j’étais ravi (et transporté) ; j’écrivais magie plus haut, et c’est vrai qu’il s’agit bien de magie, d’entendre cette unité mélodique sortir d’une trentaine d’instruments.

Nous avons ensuite enchaîné avec la Sérénade de Franz Schubert. C’était fort agréable à écouter, même si moins dansant que mon Tchaikov-chouchou. Une musique douce pour se préparer à terminer la soirée !

On a ensuite poursuivi avec le thème d’Alice, toujours réinstrumenté, toujours plaisant, avant de terminer par une mélodie de Jacob de Haan, Ammerland, une musique très agréable que je pensais tirée d’un film (et non).

Comme la dernière fois donc, ce fut une fort agréable soirée, stylée et sereine ; bref, si vous aimez la musique, ne manquez pas la nouvelle occasion d’entendre l’AECOR en vrai, en live et avec les commentaires : venez nombreux le 28 Avril pour leur concert au profit de Feelin’Vibes, association de Lyon 1 dédiée au développement durable ! Tous les détails par ici.

Fabien S.

(toutes les images non citées ont été réalisées par l’auteur et sont
CC-BY-NC-SA)

Cherchez, et vous trouverez (un stage)

Aujourd’hui, on va vous parler de JobTeaser, la super nouvelle plateforme de l’université pour trouver… bah un job ou un stage, duh.

Où c’est ?

https://univ-lyon1.jobteaser.com : ici !

Après vous êtes identifié on va vous demander de remplir votre profil et vous allez finir par arriver sur cette page :

Qu’est-ce qu’on y fait ?

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Interview La Bocalitude

Bonjour à tous ! 

Nous, au CQFD, on aime bien la planète, comme vous le découvrirez dans notre prochain numéro. Et comme les étudiants de master microbiologie réalisaient une conférence sur le zéro déchet, on s’est dit qu’on allait les interroger pour savoir ce qu’il y avait derrière leur projet « La Bocalitude » ! 

Bonjour La Bocalitude ! Pouvez-vous vous présenter, vous & votre projet ? 

Bonjour ! Nous sommes quatre étudiants en Master 2 Microbiologie Appliquée à l’Agroalimentaire, au Biomédical et à l’Environnement (MAABE) à l’Université Lyon 1. Dans le cadre d’une UE environnement, nous devions réaliser un projet qui n’avait aucune obligation, si ce n’était d’avoir un lien avec ce domaine. Etant moi-même dans une démarche Zéro déchet, mon groupe et moi (Valentine G.) avons décidé d’aborder ce thème. Le Zéro déchet est tout un style de vie : au-delà de la réduction des déchets, c’est aussi vivre différemment pour mieux respecter sa santé et l’environnement.  

Notre projet s’est alors divisé en trois axes : une intervention dans une classe de CM1 pour les sensibiliser à la notion de déchet et aux solutions qui existent, une conférence sur le campus de la Doua (qui a eu lieu le 22 Novembre 2018) et la création d’un site internet : labocalitude.fr

Qu’avez-vous de prévu à l’avenir sur ce thème ? 

La Bocalitude est née de ce projet et a bien l’intention de persister ! Pour cela, le site internet continuera d’être alimenté sur le thème du Zéro déchet, afin de donner des clés et des conseils pour se lancer dans cette démarche, et d’expliquer pourquoi il est important de faire quelque chose.  

Il est aussi possible de nous contacter via le site pour réaliser d’autres conférences.  

Vous êtes-vous intéressés à l’aspect « recherche scientifique » de la lutte contre le changement climatique ? Si oui, auriez-vous des références & des conseils pour des étudiants désireux de s’y intéresser ? 

J’avoue de pas en connaitre assez sur la question pour proposer des références et conseils à ce sujet. Je m’intéresse notamment à tout ce qui est revalorisation des matières. Par exemple, le plastique, qui est un véritable fléau en termes de pollution environnementale, peut être réutiliser en carburant. De nombreuses recherches s’orientent aussi sur la production de biogaz ou de biocarburant pour palier aux réserves de pétrole qui s’épuisent et réduire les gaz à effet de serre.  

Au-delà de ça, que pensez-vous de votre master ? 

La première année du Master Microbiologie apporte de nombreuses connaissances théoriques dans ce domaine. Le parcours professionnel MAABE a pour objectif de nous préparer à insérer le monde professionnel, à travers la réalisation de différents projets au cours desquels nous gagnons considérablement en autonomie et en capacité d’adaptation. Il nous apporte tout le savoir-être nécessaire pour réussir notre insertion et offre un réseau de connaissances très utiles. Le deuxième semestre consiste en un stage en entreprise d’une durée 6 mois et dans l’un des trois domaines du master (microbiologie en agroalimentaire, biomédical ou environnement). 

Comment un étudiant avec une conscience écologique fait pour rester concentrer sur ses études malgré la large insuffisance des engagements jusqu’à présent ? Avez-vous une technique secrète ? 

Il devient plus que nécessaire de faire quelque chose, d’agir pour « sauver » l’environnement et pour préserver les générations futures. Alors certes, il est parfois difficile de se sentir impuissant face au manque d’engagements mais je pense aussi que nous pouvons faire quelque chose à notre échelle. Chaque personne peut, en tant qu’individu, faire sa part. C’est pour cela que je suis dans une démarche Zéro déchet : car si chacun s’y met, ne serait-ce qu’à travers des petits gestes, ça pourrait faire toute la différence.  

De plus, j’arrive à la fin de mes études et je m’oriente vers l’utilisation des microorganismes dans la dépollution (sites et sols, eau, …). Ainsi, je souhaite que mon futur métier contribue à améliorer les choses, et que je puisse agir à plus large échelle que celle de l’individu. C’est avec cette idée en tête que je reste motivée et concentré dans mes études.  

Un petit mot pour terminer ? 

Voici ma devise : Le plus important, c’est d’agir ! Nous pouvons changer les choses, nous, consommateurs et donc acteurs. Mais le tout est de faire quelque chose. 

Merci beaucoup aux étudiants du master Microbiologie pour leurs réponses ! Quant à nous, on se retrouve prochainement pour la sortie du journal et l’annonce d’un (grand) projet ! 

Vous avez voté : les résultats de l’élection 2018

La campagne pour les élections des représentant étudiants au sein du Crous de Lyon pour la période 2018-2020 s’est ainsi achevée par une très forte abstention et des résultats largement en faveur de la liste de la FAGE.

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