Fête de la science : le guide du CQFD

Du 5 au 13 octobre, à Lyon comme partout en France auront lieu des centaines d’activités scientifiques en tous genres accessibles à tous. Comme ça, d’un coup ça peut faire beaucoup, alors c’est pour ça que la rédaction du CQFD vous a concocté une petite liste d’incontournables sur le campus et des recommandations de nos membres :  

Chimie, maths et physique sur le campus  

Pendant la fête de la science, le campus aussi s’anime ! Venez donc faire de la chimie les mardi 8 ou samedi 12 dans le cadre de l’exposition Chimie@Home dans votre BU. Si la beauté des maths vous intrigue, vous pouvez également vous rendre à la maison du projet du 7 au 12 octobre pour l’exposition Myriagône. Si vous êtes plus intéressés par les grands espaces, rendez vous le 9 octobre de 10h à 18h au Bureau Information Jeunesse de Villeurbanne pour revivre la mission Apollo 11 ou de 18h à 20h à l’institut des 2 infinis pour une conférence sur l’infiniment grand. 

Le village des sciences, samedi 12 octobre à l’IUT Lyon1  

Le village des sciences c’est plein d’ateliers ouverts et accessibles à tous présentés par des labos et des étudiants, de l’IUT et de Lyon 1. Vous pourrez ainsi y découvrir la science avec des activités ludiques comme cet atelier sur l’œuf ou encore le jeu de l’Oie Scientifique. Le CQFD sera aussi présent pour vous faire découvrir les simplicités et les merveilles de l’évolution de façon ludique et visuelle.  

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La science taille XX Elles, du 3 au 13 octobre au Musée des confluences

« Je voudrais aller à cette exposition car on est bientôt en 2020, et quand on était dans les années 90/2000, 2020 c’était la révolution des mœurs, les voitures volantes et autres immenses progrès sociaux et technologiques. Mais au final, les femmes sont toujours minoritaires dans les domaines scientifiques liées à la technologie et à l’innovation. Si on prend par exemple Lyon 1, le ratio femme/homme de la filière informatique est en dessous de la moyenne nationale. Montrer des figures féminines qui réussissent dans les sciences, c’est déjà un premier pas vers du changement. (Surtout que l’évènement est accessible dès 11 ans donc ça c’est TOPITOP) »

  • Gino ; L2 Science de la Vie  

Une soirée à l’Observatoire, vendredi 11 octobre de 18h30 à 22h à l’Observatoire de Lyon 

« J’ai toujours aimé l’astronomie, mon TPE était sur les trous noirs. Je veux toujours en apprendre plus, même si je ne me sens pas de faire des études dans ce domaine, trop de maths… j’aurais bien aimé. Je trouve aussi que mieux connaitre notre univers nous fait prendre conscience que finalement tout ne se résume pas à notre seul système solaire. Bien au contraire. »

  • Tessa ; L1 PCSI  

9 milliards d’années d’histoire de la Terre ; jeudi 10 octobre à 20h à l’ENS de Lyon 

« Il y a quelque chose de vertigineux à s’imaginer comment fonctionne la Terre. A tenter de deviner ses mécanismes qui font et défont continents et climats. Des changements à des échelles difficilement représentables pour nos perceptions humaines. A cela s’ajoute le vertige du temps. L’histoire de la Terre se compte ainsi en milliards d’années, durées toutes aussi inimaginables. Quoi de plus passionnant alors que de s’entendre compter tout ce que l’on sait du passé et du futur de notre Terre ? »

  • Axel ; L2 Science de la Terre 

Ces virus qui nous habitent, le virome humain ; Jeudi 10 octobre 17h-19h médiathèque du Bachut 

« J’ai envie d’aller à cette conférence tout simplement parce que je trouve que le fait de ne pas voir quelque chose ne veut pas forcement dire qu’elle n’existe pas et encore moins qu’elle ne nous impacte pas ou qu’elle ne joue pas un rôle dans notre existence. Le virus a besoin d’un hôte pour se répliquer et on sait tous aujourd’hui que lorsqu’on est infecté par un virus on garde une certaine partie de son génome. Ce que je trouve fascinant c’est d’être porteur d’un virus sans forcément que celui-ci se révèle pathogène alors que dans certaines circonstances l’infection peut se déclarer. Cela joue un rôle dans la diversité génétique de tout à chacun, de plus avec le paroxysme de la résistance antibiotique les phages représentent un espoir, un avenir pour contrecarrer cette résistance. »

  • Myriam ; L2 Physiologie 

Le programme complet pour le Rhône et la métropole ici