Le temps que vous attendiez (peut-être) tous est venu : le journal n°4 est sorti !
Pour le lire, plusieurs options :
1) Le récupérer auprès de notre stand dans le Déambulatoire
On y sera toute la semaine (et on distribuera des crêpes) :
13h15 – 13h45 Lundi
9h45 – 11h15 et 13h15 – 13h45 Mardi
10h15 – 11h45 Mercredi
9h – 16h Jeudi
10h45 – 12h15 Vendredi
2) Le récupérer au local
Au local du CQFD au bâtiment Astrée : 1er étage, porte dans le couloir en face du foyer (on vous offre un café gratos si vous passez entre midi et deux)
3) Le récupérer auprès d’un partenaire
Au Déambu : Biosphère en a 100 exemplaires ; l’AELBO et AVANZA en ont chacun 50. La BU en a 250, et l’AECOR en a 100 également, si vous êtes sur Rockfeller.
Mon prof de philo de lycée soutenait “qu’on ne peut pas être croyant et scientifique en même temps”. Mais il qu’en est-il d’être ni l’un ni l’autre ? Découvrez-en plus en vous rendant à la conférence de Gilles Escarguel, paléobiologiste au laboratoire LEHNA. En effet, on est bien souvent amené à opposer Dieu et Darwin, créationnisme et évolutionnisme. En France, pays laïque, le créationnisme « à l’américaine » est plutôt (très) mal vu. Pourtant, le darwinisme n’est pas pour autant très bien compris, ni très bien accepté dans notre pays…
Soyez présent le lundi 3 décembre de 12h30 à 13h15 à la Maison du projet LyonTech-la Doua pour venir en discuter autour d’un café !
Ce moi-ci encore, le SOIE vous propose des ateliers pour vous aider à préparer au mieux votre intégration dan le monde professionnel. Cette semaine, retrouvez deux ateliers:
Le mardi 4 décembre de 10h à 11h30 apprenez à préparer au mieux votre CV
Le jeudi 6 décembre de 13h à 14h c’est au tour de la lettre de motivation d’être décortiquée
Pour vous inscrire, rendez-vous sur le Career Center Lyon 1 – Rubrique Evènements
Et c’est même vivement recommandé pour s’ouvrir à d’autres cultures, manières d’apprendre et bien plus encore !
A ce titre, si vous êtes en L2, L3 ou M1, vous pouvez partir en échange à l’Université Saint-Esprit de Kaslik(USEK) dans le cadre de l’accord de coopération signé avec Lyon 1. Ne manquez pas la réunion d’information le lundi 3 décembre de 12h30 à 14h00 à l’amphithéâtre Istil – Polytech sur le campus de la Doua
On vous avait parlé du super concert de l’AECOR il y a deux semaines et comme au CQFD, on ne recule devant aucun sacrifice pour vous informer, on a décidé d’envoyer un commando reporter sur place. Samedi soir donc, à 18h, j’ai quitté l’immensité désolée de l’usine Jupiter pour aller à la Doua, en Astrée, voir ce qui allait se passer.
Après une infiltration réussie, j’ai pu prendre place à euh… ma place, et écouter. Le concert était découpé en trois phases : petits groupes, chorale, orchestre, et un final avec chorale et orchestre. On va donc les passer dans l’ordre, et j’essayerai de vous trouver à chaque fois la musique correspondante, pour que vous puissiez vous faire une idée de à quoi ça ressemblait.
Petits groupes
On a donc débuté la soirée en partant dans l’espace avec une cover de Star Wars à l’accordéon (deux pour être précis), plus spécifiquement Duel of the fates et Darth Vader theme. Il semblait difficile, pour le premier, de réussir à rendre tous les instruments de l’orchestre à deux et effectivement, j’ai trouvé que ça manquait un peu de profondeur comparé à l’original. En revanche pour le second, absolument aucun problème ! Sa plus grande simplicité le rendait bien mieux adapté, et, de fait, ce thème se retrouve dans des centaines de variations sur YouTube, dont des jouées par des lecteurs de disquette et des imprimantes 3D.
Duel of the fates
Floppy Vader
Printer Vader
On est revenus au sol avec… Jil is Lucky, de The Wanderer (à ne pas confondre avec The Wanderer, par Dion, pour les joueurs de Fallout) : un atterrissage en douceur dans les plaines, avec guitare, violon & chant.
On a continué avec Street Spirit de Radiohead, interprété à deux : une guitare et un piano.
On a enchaîné avec un mashup de Somewhere over the rainbow (dans la version d’Iz, pas celle de Judy Garland) et de Ripe tides, chanté par trois personnes dont une qui jouait également du ukulélé.
Méditango à présent, de Astor Piazolla, interprété au piano et à la guitare : j’ai beaucoup apprécié, mais j’ai la furieuse impression d’avoir déjà entendu un bout de la mélodie dans une autre chanson, ça me perturbe terriblement. Un paquet de cookies à celui qui trouvera le nom !
Pocketful of Sunshine à présent, en version chant/tambour. Je dois le dire, après avoir écouté la vidéo originale, je la trouve moins bien que la cover de l’AECOR, c’est dire qu’elle m’a plu !
Le thème du personnage Nami, de League of Legends : j’étais moins convaincu, mais ils partaient avec deux désavantages :
Je n’aime pas ce jeu, ni son design très pop ;
Et en plus, je trouve que la mélodie de la musique présente des similarités avec une de mes musiques préférées de tous les temps (j’ai même ses paroles sur le mur de ma chambre), Fear not this night. Sans doute parce que ce sont deux représentants du genre épique, mais je ne dois pas être le seul puisqu’en allant écouter la musique originale, YouTube m’a gentiment suggéré d’écouter FNTN !
En tout cas, la version de l’AECOR était très fidèle à l’originale, avec seulement un piano et une flûte.
Chorale
Passons maintenant à la chorale.
Ils ont attaqué avec Evening Rise, un chant traditionnel amérindien. Je dois avouer que je me suis demandé pourquoi un chant traditionnel amérindien serait écrit en anglais ; après quelques recherches sur Internet, j’ai trouvé quelqu’un qui avait la même question que moi, et en résumé, la réponse c’est que la chanson vient probablement d’un chant (amér)indien et qu’elle a été tellement modifiée qu’elle semble curieusement populaire en Allemagnei. En revanche, la musique elle-même était fort sympathique !
Pour la suite, Thule mama ya. On m’a parlé de chant zulu et dans ma tête de joueur de Civilization j’ai commencé à saliver (oui mon cerveau a des glandes salivaires). Je n’ai pas été déçu : c’était très agréable et digne des deux auxquels je pensais (Baba Yetu & le thème de paix de Shaka).
J’ai failli faire une blague avec « comme c’était l’heure d’aller à la buvette, ils ont entonné une chanson à boire » mais absolument pas, ce n’était que l’avant-dernière. Je parle ici du Tourdion de Pierre Attaignant, une chanson du 15ème siècle tout de même ! Mes recherches sur YouTube m’ont permis de trouver une version chantée par des Hongrois (selon Google trad’), et comme je trouve leur accent ultra-sexy je ne peux m’empêcher de vous la mettre au lieu d’en chercher une en français :
Et enfin, last but not least (petite phrase en anglais pour introduire une chanson dans la langue, trop fort) : We will rock you, de Queen ! La salle avait tellement d’enthousiasme que la mélodie a failli partir avant les chanteurs, mais heureusement le contrôle a été éventuellement rétabli.
Orchestre
Enfin, les choses sérieuses avec l’orchestre et peut-être une de mes musiques préférées de tous les temps, Greensleeves. Oui, « sleeves », de manche, pas « leaves », feuilles : la chanson s’appelle donc manches vertes, pour « une dame aux manches vertes ». Cette musique faisait partie de la bande-son d’Anno 1602, dans une version pratiquement identique à celle jouée par l’AECOR (qui m’a tellement plu que j’ai dessiné 3 cœurs sur mon carnet, j’ai honte). La voici : (baissez le son, son volume est trop élevé) :
On a poursuivi avec un medley d’Avicii, dans un arrangement spécial made in AECOR (trop fort !). Je serais donc incapable de vous trouver une vidéo sur YouTube mais prenez Hey Brother, Wake me up et « Levels » si je me relis correctement, mixez le tout pour que ça sonne bien et ça devrait donner un truc similaire ! Eventuellement.
La Comparsita : je ne connaissais absolument pas mais c’était très agréable à entendre ! Pour votre culture générale, la mélodie a été créée par un étudiant Uruguayen et c’est même devenu l’hymne national de l’Uruguay (et non pas du Québec, si vous en doutiez).
Pour conclure, l’orchestre a joué la BO de Alice au Pays des merveilles (Alice’s theme, exactement) par Tim Burton. J’ai marqué 3 cœurs au total donc on score à égalité avec Greensleeves, mais je dirais qu’il y a un bonus de découverte.
Super combo chorale-orchestre « Wake me up before you go-go »
Une célèbre chanson des années 80 pour terminer ? J’avoue que j’étais un peu heureux (j’ai écrit « topito » pour vous dire, mais ça reste entre nous), et ce même si l’orchestre était finalement un poil plus audible que la chorale (ce qui est dommage pour une chanson). Pour l’écouter :
Chaque année, de nombreux projets voient le jour au sein des masters de l’Université, à travers une UE « Gestion de projet » qui est proposée en première année. C’est dans ce cadre que nous avons rencontrés quatre étudiant du Master BMC qui étaient à la recherche d’une association pour héberger les fonds qu’ils allaient devoir manipuler ! Nous avons donc pensé qu’il s’agissait d’une opportunité intéressante afin de découvrir leur Master de l’intérieur, mais également d’en apprendre davantage sur les possibilités de l’UE Gestion de projet.
L’association d’étudiants du musée des Beaux-Arts de Lyon, BEAUX-ART CAMPUS, a le plaisir de vous inviter à son premier VERNISSAGE ÉTUDIANT de l’exposition “Claude, un empereur au destin singulier” , le vendredi 30 novembre 2018 de 17h30 à 20h.
Pensez bien à prendre votre carte d’étudiant pour pouvoir y accéder !
Un mystère de Rome antique !
À la fin du IIe siècle après J.-C., Lugdunum vit des temps troublés. D’étranges événements perturbent le bon fonctionnement de la cité romaine. À la veille du 4 décembre, la prêtresse Lulia disparaît mystérieusement. Pourquoi? Qu’a-t-elle découvert ? Qui sont ses détracteurs ? Quelles menaces planent sur la cité ? Votre mission : retrouver Lulia et découvrir ce que cache sa disparition. Vous avez une heure pour résoudre l’énigme !
Le MARDI 4 DÉCEMBRE 2018, participez à une des 2 sessions (20h et 22h) en équipe de 8 participants. Sur réservation au 04 72 38 81 91 ou reservations.lugdunum@grandlyon.com
Une conférence de canard ?
Frédéric Ferrer, agrégé de géographie, met en scène les créations de sa compagnie Vertical Détour en explorant, par un travail documentaire ou expérimental, des domaines scientifiques tels que le réchauffement climatique, l’évolution des continents, l’extinction de l’écosystème, l’effondrement de notre civilisation…
Il est accueilli à Lyon pour partager avec vous ses conférences scientifiques théâtralisées intitulées « Cartographie » jouées de novembre à janvier. La première aura lieu le mercredi 21 novembre à 20h aux Ateliers –Presqu’île (5, rue petit David – 69002 Lyon) et est intitulée CARTOGRAPHIE 1 : À LA RECHERCHE DES CANARDS PERDUS. Ce sera une conférence autour d’une expérience scientifique pour mesurer la vitesse du réchauffement climatique dans l’Arctique.
Et pour se décongeler, quoi de mieux qu’une bonne playlist ? Voici les résultats qu’on obtient quand on demande aux membres du CQFD de lister des musiques d’hiver :
All I want for Christmas is you : c’est assez transparent
Hogsmeade theme : la magie et la neige, ça marche toujours ! Surtout quand on y joue en jeu vidéo et qu’on galère sur le niveau dont il est le thème.
Mountain – Zelda Breath of the Wild,
Snowpeak ruins,
Et Snowpeak tout court, parce que dans Zelda aussi on randonne dans la poudreuse !
Freezy Flake Galaxy et
Ice mountain, parce que les plombiers aiment faire du ski
Frozen City, de Pokemon Black & White 2 (le rédacteur de l’article vient de se taper un coup de vieux, il est de la génération Saphir/Diamant x))
Ginkiha – Borealis, de Osu!mania
Le thème du launcher de Lol en hiver
Forochel et
Ered Luin ambiant, parce que maintenant qu’on a fini de se balader dans les mondes de Nintendo il faut bien visiter aussi ceux de Tolkien ! (notez que Toto ne parle que rarement de zones glacées, mais néanmoins la baie de Forochel est bien indiquée dans les cartes de ses œuvres #instantculture)
La Reine des Neiges : no comment (mais pas libérée/délivrée, cette fois)
Et l’ost de la route 216, pour donner des cauchemars à tous ceux qui sont restés bloqués dans les congères de Diamant !
Slow dancing in a burning room pour rallumer le feu,
Heart of gold parce qu’il faut de la lumière pour survivre à la nuit, et d’ailleurs heureusement car
There is a light that never goes out : ça doit être pratique pour lire au lit, comme dirait Astérix.